Bismillah
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Si les parents refusent d'un commun accord une prétendanteSi les parents refusent d'un commun accord une prétendante.
Q : Je suis un jeune homme qui désire semarier. J’ai demandé sa main à une fille qui n’est pas de notre famille. Quand j’en ai informé mon père et ma mère, ils ont refusé catégoriquement ce mariage, bien que je voulais absolument me marier avec cette fille. Dès lors, ma mère m’a déclaré : « Si tu te maries avec elle, je ne te pardonnerais jamais ni sur terre, ni dans l’autre monde, et ne viens plus jamais nous voir ! » Tous mes frères ainsi que mon père ont eu la même réaction ; je ne sais absolument pas pourquoi ils ont refusé ce mariage. Je ne vois aucune raison du côté de la fille m’obligeant à y renoncer, d’autant plus que j’y tiens absolument.
R : Si tous les membres de ta famille sont d’un commun accord pour refuser ce mariage avec cette fille, en sachant que tu ne peux trouver meilleurs conseillers, et qu’ils éprouvent le plus de bienveillance à ton égard, tu dois te soumettre à leur volonté. S’ils n’étaient pas convaincus qu’une chose n’allait pas, ils ne t’auraient jamais empêché de te marier. Surtout de la part des parents dont la bienveillance connue envers leurs enfants ne peut échapper à ...Le jugement de la prière sans voile, par ignoranceLe jugement de la prière sans voile, par ignorance.
Q : Pendant une période, j’ai prié sans voile, car je ne savais pas qu’il était obligatoire de le porter pendant la prière, dois-je recommencer mes prières passées en sachant que la période a duré environ six ans ou multiplier mes prières surérogatoires ? R : Si comme tu l’as mentionné, tu ne savais pas qu’il été obligatoire de le porter, tes prières passées ne sont pas à rattraper, mais tu dois te repentir à Allah et augmente tes actions pieuses. Car Allah a dit : « Et je suis Grand Pardonneur à celui qui se repent, croit, fait bonne œuvre, puis se met sur le bon chemin". » Sourate'Ta-Ha' verset 82 et bien d’autres versets vont dans ce sens. En sachant que le visage de la femme doit être découvert pendant la prière, s’il n’y a pas d’hommes étrangers autour d’elle.
Parler après l’Iqamah pour la prière
Fatawas Sheihk Bin Baz
Parler après l’Iqamah pour la prière
Question: Quelle est la règle concernant le fait de parler de sujets en dehors de la prière, comme le renforcement des rangs etc. après que l’Iqamah de la prière a été appelé et avant le Takbir d’ouverture, ou de parler d’affaires mondaines? Réponse: Parler de sujets relatifs à la prière après l’Iqamah et avant le Takbir d’ouverture, comme le renforcement des rangs et autre, est prescrit pas la loi islamique, mais si cela n’a rien à voire avec la prière, alors mieux vaut éviter, afin d’être prêt pour entrer en prière et par respect pour elle.
Ibn Baz Kitâb Al-Fawâ’id Par l’imam Ibn Al-Qayyim Al-Jawziyyah part3
Kitâb Al-Fawâ’idPar l’imam Ibn Al-Qayyim Al-Jawziyyah part-3Les formes d’abandon du Coran
Les formes d’abandon du Coran sont multiples : 1 – Ne pas l’écouter, ni croire en lui ou tendre l’oreille vers lui 2 – Ne pas le mettre en pratique, ne pas s’en tenir à ce qu’il considère licite ou illicite, même si on le lit et croit en lui. 3 – Ne pas le prendre comme arbitre et juge en ce qui concerne les fondements de la religion et ce qui en découle. Croire qu’il n’apporte aucune certitude et que ses preuves sont uniquement verbales et n’apporte aucunes sciences. 4 – Ne pas méditer, chercher à le comprendre et à savoir ce qu’à voulu Celui qui l’a prononcé. 5 – Ne pas le prendre comme remède pour l’ensemble des maladies du cœur, en cherchant au contraire la guérison en dehors de lui. Tout cela s’inscrit dans le cadre de la parole d’Allah : « Le messager dit : Seigneur ! Mon peuple a vraiment délaissé ce Coran. » (Sourate Al Furqân verset 30) Demander l'assistance des mortsDemander l'assistance des morts.
Q : Quelle est la position de l’islam concernant celui qui demande secours d’une personne morte en disant : « Secourez-moi, ô untel » ? Et celui qui demande secours auprès de gens qui sont absents et qui ne peuvent l’entendre ?
R : Premièrement : En ce qui concerne celui qui demande assistance d’un individu mort en disant : « Secourez-moi, ô untel ! », il est de notre devoir de lui montrer son erreur, de le conseiller en lui disant que ceci est illicite, et que, plus encore, c’est de l’associationnisme majeur. S’il persiste dans son acte, il deviendra ainsi associateur infidèle car il a demandé à d’autre qu’Allah ce que personne ne peut réaliser sauf Allah, gloire et pureté à Lui, et il a voué ce qui est du droit d’Allah à une créature, Allah le Très-Haut dit : « Quiconque associe à Allah (d’autres divinités), Allah lui interdit le Paradis et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes pas de secoureurs ! »1 Deuxièmement : demander assistance auprès d’une personne vivante non présente n’est pas permis car cela revient à invoquer autre qu’Allah, aussi et à demander à autre qu’Allah ce que personne ne peut réaliser si ce n’est Lui. Cet acte également représente une association majeure, Allah le Très-Haut dit : « Quiconque donc espère rencontrer son Seigneur qu’il fasse de bonnes actions et qu’il n’associe dans son adoration aucun autre à son Seigneur. »2 D’autre part, l’invocation du ... |