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Fatawas Dar al Ifta
L'autorisation parentale
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L'autorisation parentale
Q : M’est-il permis d’aller à la mosquée, ou à une séance d’invocation ou au domicile d’un musulman et ceci pour la prédication ou pour étudier sans l’autorisation de mon père ?
S’il était au courant, il m’en empêcherait. Mais la foi s’use à l’instar d’un vêtement et j’ai besoin de renouveler ma foi car je me trouve dans un milieu plein de choses détestables ; m’est-il permis d’aller secrètement ou non ?
R : Avant le mariage, la femme est placée sous la tutelle de son père. Il ne lui est pas permis de sortir du domicile sans son autorisation, qu’il s’agisse d’aller à la mosquée ou ailleurs, car l’obéissance au père est obligatoire si elle n’implique pas une désobéissance envers Allah.
Nous te conseillons d’écouter la radio du Saint Coran d’Arabie Saoudite qui diffuse un savoir important et de bonnes orientations.
Il y a un programme intitulé « Lumière sur le chemin » dans le cadre duquel un groupe d’ulémas répond aux questions des auditeurs. Puisse Allah vous assister à faire le bien et vous procurer un savoir religieux.
Et c’est d'Allah que vient le succès, que la prière d’Allah et son salut soit sur notre prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons.
- Fatwa du comité permanent :
- Membre : Salih el Fawzen, Bakr Abou Zaid, Abdallah ibn Gadayen
- Vice-président : Abdel Aziz Ali Cheikh
- Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ben Baz
- Page 101, Tome 12, fatwa numéro : 18859
Le rôle de la femme et ses moyens d'action
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Le rôle de la femme et ses moyens d'action
Q : La femme doit-elle prêcher l’Islam en dehors de son foyer et comment ?
R : La femme doit prêcher l’Islam au sein de sa famille composée de son mari et de ses proches parents des deux sexes.
Elle peut en plus prêcher l’Islam en dehors de son foyer, mais en milieu féminin, à condition de ne pas avoir à voyager sans la compagnie de son mari ou d’un très proche parent et à condition d’être à l’abri de toute tentation, d’obtenir l’autorisation du mari si celle ci est marié, de répondre à une nécessité et de ne pas négliger un droit familial plus important.
- Fatwa du comité permanent :
- Membre : Abdallah ibn qouh´oud
- Vice-président : Abdrazeq hafifi
- Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ben Baz
- Page 249, Tome 12, fatwa numéro : 17941
Le surplus d'échantillons de nourritures
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Le surplus d'échantillons de nourritures
Q : On envoie au laboratoire différents échantillons de fromage, de jus, de cacahouètes, viandes, de parfums, de lait caillé, etc. Certains échantillons ont une quantité qui dépasse ce qui est nécessaire à la conduite des analyses requises. On amène par exemple un carton de 50 boîtes alors que seulement 5 sont nécessaires. On pourrait citer de nombreux autres exemples. Est-il permis à l’auteur des analyses de prendre le surplus ou de l’offrir à des nécessiteux, sachant que le stockage de ces matières sur place jusqu'à la fin des procédures de dédouanement et d’analyse pourrait entraîner leur détérioration et leur élimination, car la plupart des commerçants ne reviennent pas réclamer ces échantillons en trop.
R : Premièrement, les responsables de laboratoire de contrôle de qualité doivent veiller à ne demander que des quantités qui suffisent le plus souvent pour leurs analyses. Ils ne doivent ni exiger ni accepter plus que le nécessaire.
Deuxièmement, si malgré tout il y a encore des surplus, ils doivent être restitués à leurs propriétaires en utilisant l’adresse qui figure sur l’emballage de l’échantillon, en inscrivant la date de restitution du surplus, le lieu et le nom du responsable pour qu’il puisse être contacté.
Troisièmement, si le propriétaire de l’échantillon ou son mandataire ne se présentent pas pour le récupérer et qu’il risque de se détériorer, on le vend puis on place l’argent dans bayt al-mal (Trésor public de l’Etat musulman).
- Fatwa du comité permanent :
- Membre : Abdallah ibn Qouh´oud
- Vice-président : Abdrazeq 'Afifi
- Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ben Baz
- Tome 13, pages 23-25, question numéro : 9782.
Interrompre une prière surérogatoire pour une obligatoire avec l'imam
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Interrompre une prière surérogatoire pour une obligatoire avec l'imam
Q : M’est-il permis d’interrompre une prière surérogatoire pour pouvoir atteindre le takbir el hiram avec l’imam ou dois-je la finir ?
R : Oui, quand l’appel à la prière (ikama) est prononcé alors interrompt ta prière surérogatoire que tu es en train de faire pour pouvoir atteindre le takbir el irham avec l’imam. Car il nous est parvenu de la parole du prophète (que la prière et le salut d’allah sont sur lui) :
« Quand l’appel à la prière (el ikama) a été prononcé il n’y a pas de prière à faire sauf celle prescrite ».
Et c’est d'Allah que vient le succès, que la prière d’Allah et son salut soit sur notre prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons.
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Fatwa du comité permanent :
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Membres : Abdallah ibn qouh´oud , Abdallah ibn ghadayen
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Vice-président : Abdrazeq hafifi
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Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ban Baz
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Page 314, tome 7, fatwa numéro : 3763
Le jugement du rire, dans la prière
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Le jugement du rire, dans la prière
Q : Quel est le jugement sur le fait de rigoler pendant la prière sachant ou pas que ceci annule la prière ?
R : Rigoler dans la prière en sachant ou pas que ça l’annule est interdit, et ceci avec l’unanimité des savants.
Et c’est d'Allah que vient le succès, que la prière d’Allah et son salut soit sur notre prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons.
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Fatwa du comité permanent :
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Membres : Abdallah ibn qouh´oud , Abdallah ibn ghadayen
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Vice-président : Abdrazeq hafifi
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Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ban Baz
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Page 94, tome 7, fatwa numéro : 6096
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